ficelle n°73 – JOCKEY ! – Pascal Commère – Ricardo Mosner

9,00

Gouaches de Ricardo Mosner
Un grand poème : Une chute de cheval qui à immobilisé l’auteur quelques mois…
Tirée à 500 exemplaires
dont 16 ex sur Velin Clairefontaine ivoire
agrémentés d’une gouache originale.
Juillet 2006

Description

De par son histoire familiale, Pascal Commère voue une attention particulière au mot Jockey. Les inscriptions rassemblées ici font suite, quant à elles, à une dernière incartade sur la sciure — Résultat : trois mois de corset sur un lit sans bouger !

BIO : Pascal Commère (né le 17 décembre 1951 à Semur-en-Auxois en Bourgogne) est un écrivain et poète français. Il réside en Côte d’Or.
Source : Wikimédia.
Approche biographique[modifier | modifier le code]
Il a 6 ans lorsque son père, jockey, meurt d’une chute à l’entraînement. Des premiers livres : Le pèlerinage des chevaux avait lieu à heure fixe. Les chiens se taisaient. Un homme parfois roulait dans la sciure. On le relevait. On remettait ça./ Plus de viande que de peur./ Il fallait attendre la nuit pour que dans les cabas les rêves et l’avoine voyagent à prix égal, jusqu’à un des derniers ouvrages parus : arrêtés soudain détachés du troupeau. Hennissements/ un temps encore là-bas, où le piétinement poursuit/ Cavaliers !, le cheval sera toujours très présent, en chair, en os, en mots, dans l’œuvre de Pascal Commère. En 1978, il fonde, avec Christian Cailliès, la revue de poésie Noah dans laquelle on retrouvera les signatures de Raoul Bécousse, Marcel Schaettel ou Serge Wellens, avant de rejoindre au début des années 1990 le comité de rédaction de la revue Le Mâche-Laurier. Il est membre du Comité Littéraire de la revue électronique de littérature Secousse.

BIBLIO : Œuvres (choix)[modifier | modifier le code]
Les Commis, Folle Avoine, 1982.
Chevaux, Denoël, 1984, Bourse de la Fondation Cino del Duca.
Dijon, Champ Vallon, 1989.
La Vache automatique, Le Dé bleu, 1989.
Lointaine approche des troupeaux à vélo vers le soir, Folle Avoine, 1995.
D’une lettre déchirée en septembre, Tarabuste, 1996.
De l’humilité du monde chez les bousiers, Obsidiane, 1996, Prix des Découvreurs de la ville de Boulogne.
Solitude des plantes, Le Temps qu’il fait (éditions), 1998.
Le Grand Tournant, Le Temps qu’il fait (éditions), 1998.
Vessies, lanternes et autres bêtes cornues, Obsidiane, 2000.
La Grand’soif d’André Frénaud, Le Temps qu’il fait (éditions), 2001.
Bouchères, Obsidiane, 2003, Prix Roger Kowalski de la ville de Lyon.
D’un pays pâle et sombre, Le Temps qu’il fait (éditions), 2004.
Lieuse (gravures de Sylvie Turpin), Le Temps qu’il fait (éditions), 2004.
Le Vélo de saint Paul, Le Temps qu’il fait, 2005.
Prévision de passage d’un dix cors au lieu-dit Goulet du maquis, Obsidiane, 2006.
Les Oiseaux de Sens, avec Emmanuel Berry, Le Temps qu’il fait (éditions), 2007.
Tel en grotte sur paroi (peintures de Jean-Gilles Badaire), S’Ayme à bruire, 2009.
Les Larmes de Spinoza, Le Temps qu’il fait (éditions), 2009.
Noël hiver, Le Temps qu’il fait, 2010.
Anthère (peintures de Philippe Hélénon), Sabbar, 2011.
Le Petit Cheval d’Ostrava, Le Temps qu’il fait (éditions), 2011.
Des laines qui éclairent, Une anthologie, 1978-2009, Obsidiane & Le Temps qu’il fait (éditions), coll. « Les Analectes », 2012.
Tashuur. Un anneau de poussière, Obsidiane, 2012.
P’tite Mouche (dessins de Valérie Linder), Le Ouïgour indiscret, 2016.
Territoire du Coyote, Tarabuste, 2017.
Cornichon, Le Ouïgour indiscret, 2021.
Ainsi parle le mur, Le Temps qu’il fait (éditions), 2022.